Portrait présumé du baron Charles-François, comte de Sassenage, dit marquis de Sassenage

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Portrait présumé du baron Charles-François, comte de Sassenage, dit marquis de Sassenage
CC0 Paris Musées / Musée Cognacq-Jay, le goût du XVIIIe
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Portrait présumé du baron Charles-François, comte de Sassenage, dit marquis de Sassenage
La Tour, Maurice-Quentin de
Datation
Vers 1750
Musée
Musée Cognacq-Jay, le goût du XVIIIe
Auteur(s)
La Tour, Maurice-Quentin de (Saint-Quentin, 05–09–1704 - Saint-Quentin, 17–02–1788), dessinateur
Dates
Vers 1750
Datation en siècle
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Matériaux et techniques
Numéro d’inventaire
J 122
Portrait présumé du baron Charles-François, comte de Sassenage, dit marquis de Sassenage

Informations détaillées

Auteur(s)
La Tour, Maurice-Quentin de (Saint-Quentin, 05–09–1704 - Saint-Quentin, 17–02–1788), dessinateur
Autre titre :
Portrait de Raymond Pierre, marquis de Bérenger, comte de Guâ (Titre ancien (périmé))
Date de production
Vers 1750
Datation en siècle
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Matériaux et techniques
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 60 cm
  • Largeur : 42 cm
Dimensions - Cadre:
  • Hauteur : 80 cm
  • Largeur : 70 cm
Description iconographique

Le modèle de ce portrait porte sur la poitrine le cordon de moire bleue et la plaque de l'ordre du Saint-Esprit. Son identité a été très discutée : on a voulu y voir alternativement le portrait de Charles-François, comte de Sassenage, ou celui de son gendre, marquis de Bérenger. Les précisions aimablement données par Alain Jam, archiviste du château de Sassenage, permettent maintenant une identification plus sûre (cf. Burollet, Thérèse, 2008, p.147).

Commentaire historique

La Tour a exposé au Salon de 1748 (livret n°84) un "Portrait du comte de Sassenage", commande de la Maison du roi, dont on ignore tout. Il était tentant de le chercher dans le pastel du musée Cognacq-Jay. Cependant, l'hypothèse n'est pas à retenir car le baron Charles-François, comte de Sassenage, dit marquis de Sassenage, n'a été fait chevalier du Saint-Esprit que le 25 mai 1749. La Tour ne peut avoir rajouté à son portrait, un an après le Salon, ce cordon bleu moiré et la plaque de l'ordre du Saint-Esprit. George Brunel ("Musée Cognacq-Jay", "De poudre et de papier. Florilège de pastels dans les collections publiques françaises", Versailles, 2004, p.66) suggère donc un autre historique qui paraît le plus plausible : La Tour aurait réalisé vers 1750-1755 une superbe réplique du portrait de 1748 ou une version différente, comportant la nouvelle et glorieuse décoration, oeuvre qui serait restée au château de Sassenage jusqu'à sa vente à Ernest Cognacq.

Mode d'acquisition
Nom du donateur, testateur, vendeur
Date d’acquisition
1928
Numéro d’inventaire
J 122

Indexation

Datation en siècle

Type(s) d'objet(s)

Dénomination(s)

Matériaux et techniques

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