Palais de justice, vue de l'arcade enjambant la rue de Nazareth, en ruine
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Palais de justice, vue de l'arcade enjambant la rue de Nazareth, en ruine
Emonts ou Emonds, Pierre
Datation
Entre 1871 et 1890
Musée
Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Auteur(s):
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Dates:
Entre 1871 et 1890
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Institution :
Numéro d’inventaire:
PH17169
Palais de justice, vue de l'arcade enjambant la rue de Nazareth, en ruine
Informations détaillées
Auteur(s):
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Date de production:
Entre 1871 et 1890
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 27 cm
- Largeur : 21 cm
Dimensions - Montage d'origine:
- Hauteur : 47.9 cm
- Largeur : 31.2 cm
Description:
Tirage contrecollé sur montage ancien
Marques, inscriptions, poinçons:
Inscription concernant le titre - Au recto du montage, en bas à droite, manuscrite au crayon : "Arc de Nazareth". \ Inscription au crayon
Tampon - Sur l'image, en bas, à gauche, à l'encre rouge : "VILLE / DE / PARIS". Cf. Lugt Suppl. 2012c. \ Inscription à l'encre
Mode d'acquisition:
Institution:
Numéro d’inventaire:
PH17169
Indexation
Datation en siècle
- 2e millénaire
- 19e siècle (109 898)
- 2e moitié du 19e siècle
- 19e siècle (109 898)
Période
Type(s) d'objet(s)
- Discipline (354 755)
- Arts graphiques (252 326)
- Type de support / matériau (277 754)
- Photographie (77 000)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (263 684)
- Photographie (74 361)
La rue de Jérusalem a été absorbée, comme la rue de Nazareth et Sainte-Anne, à la fin du XIXème siècle par le quai des Orfèvres au fil des extensions du palais de Justice. L'arc de Nazareth, construit de 1552 à 1556, reliait la cour des Comptes dans la cour de la Sainte Chapelle à ses archives établies dans l'ancien logis des chapelains de la sainte Chapelle. La cour des Comptes est incendiée lors de la Commune, l'arcade n'est pas détruite et est démontée pierre par pierre pour être remontée dans la cour du musée Carnavalet côté rue des Francs-Bourgeois. Son style appartient à celui de la Renaissance avancée. La voûte en berceau soutenue de chaque côté par quatre consoles à volutes, porte un étage qu'éclaire sur chaque face une fenêtre à tabernacle brochant sur un haut comble en bâtière. l'ouvrage a pour principal auteur Guillaume Le Breton. La décoration sculptée est probablement de Jean Goujon.