Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 21 mars dimanche midi 1847

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Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 21 mars dimanche midi 1847
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
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Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 21 mars dimanche midi 1847
Drouet, Juliette (Julienne Gauvain, dite)
Datación
En 1847
Museo
Casas de Victor Hugo en París y Guernesey
Autor(es)
Drouet, Juliette (Julienne Gauvain, dite) (Fougères, 10–04–1806 - Paris, 11–05–1883), auteur du texte
Fecha
En 1847
Datación (siglo)
Tipo(s) de objeto(s)
Denominación(ciones)
Número de inventario
a7864
Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 21 mars dimanche midi 1847

Información detallada

Autor(es)
Drouet, Juliette (Julienne Gauvain, dite) (Fougères, 10–04–1806 - Paris, 11–05–1883), auteur du texte
Fecha de producción
En 1847
Datación (siglo)
Tipo(s) de objeto(s)
Denominación(ciones)
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 21 cm
  • Largeur : 13.5 cm
Descripción

4 Feuillets

Marcas, inscripciones, cuños
Inscription manuscrite - 21 mars [1847], dimanche midiJe t’ai prévenu ce matin que j’allais me dépêcher de faire mes affaires pour être tout au bonheur que tu me donneras quand tu pourras venir. Je me suis tenua parole et me voici toute prête. Si tu étais bien inspiré tu viendrais tout de suite et tu resterais jusqu’à ce soir sans désemparer au risque de t’embêter (style de Lola Montès [1]) beaucoup. Tu me devrais bien cela si tu étais de bonne foi car je t’ai à peine vu toute la semaine et demain je ne te verrai guère plus, en supposant que tu me laisses aller te chercher à la Chambre, ce qui n’est rien moins que sûr.Cher adoré, quelle vieille bougon je fais et comme tu as raison de me fuir. Si la franchise n’était pas de mauvais goût ici, avoue que tu en conviendrais. Eh ! bien tu aurais tort car jamais amour plus tendre, plus doux, plus aimable, plus rayonnant et plus pur n’a rempli le cœur et la vie d’une pauvre femme comme celui qui remplit le mien. Je t’aime, je te vois beau, je te vois jeune, je te vois grand, noble, généreux, sublime et divin et je t’adore. Si je pouvais ne te quitter jamais ma vie ne serait que joie ineffable et bonheur. Je serais toujours bonne car je serais toujours heureuse. Tandis que je ne peux que t’aimer et te désirer de toute mon âme.Juliettea) « tenue ».Notes[1] La célèbre danseuse et courtisane était alors la maîtresse de Louis II de Bavière.
Fecha de adquisición
01121967
Número de inventario
a7864

Indización

Datation en siècle

Type(s) d'objet(s)

Dénomination(s)

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