Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 14 mai dimanche midi 1848

Zoom
4 visuels Voir
CC0Télécharger
Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 14 mai dimanche midi 1848
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
X
Zoom
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
X
Zoom
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
X
Zoom
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
X
Zoom
Autres visuels (4)
Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 14 mai dimanche midi 1848
Drouet, Juliette (Julienne Gauvain, dite)
Datation
En 14–05–1848
Musée
Maison de Victor Hugo - Hauteville House
Auteur(s)
Drouet, Juliette (Julienne Gauvain, dite) (Fougères, 10–04–1806 - Paris, 11–05–1883), auteur du texte
Dates
En 14051848
Datation en siècle
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Numéro d’inventaire
a8083
Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 14 mai dimanche midi 1848

Informations détaillées

Auteur(s)
Drouet, Juliette (Julienne Gauvain, dite) (Fougères, 10–04–1806 - Paris, 11–05–1883), auteur du texte
Date de production
En 14051848
Datation en siècle
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 19.3 cm
  • Largeur : 12.5 cm
Description

4 Feuillets

Marques, inscriptions, poinçons
Inscription manuscrite - 14 mai [1848], dimanche, midiIl me tarde de te voir, mon bien-aimé, pour savoir où tu en es de tes affaires. Non par frivole curiosité mais parce que je t’aime et que tout ce qui te touche m’intéresse plus que ce qui me regarde personnellement et puis je te verrai, ce qui est l’unique joie de ma vie. Je sais bien que tu ne t’aperçois guère si je ne suis occupéea que de toi, si je t’admire, si je t’aime, si je t’adore puisque tu lis les journaux et que c’est à grand peine que je parviens à te faire lever les yeux deux ou trois fois. Mais enfin cela me suffit, je te vois, je suis heureuse. La journée me semble déjà bien longue. Est-ce que tu ne vas pas bientôt venir ? Je le voudrais. Je compte les minutes. C’est une noble occupation. Je le sais mais j’aime mieux te baiser. Dépêche-toi donc à venir si tu veux me rendre bien heureuse. Dans le cas où tu ne le pourrais pas je te pardonne et je t’attends avec un redoublement d’impatience et d’amour. Pense à moi, mon Toto, pour que je le sente, que je sois moins malheureuse de ton absence.Juliettea) « occupé ».
Date d’acquisition
01121967
Numéro d’inventaire
a8083

Indexation

Datation en siècle

Type(s) d'objet(s)

Dénomination(s)

Retour vers le haut de page