Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 25 juillet dimanche matin 7h 1/2 1847

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Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 25 juillet dimanche matin 7h 1/2 1847
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
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Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 25 juillet dimanche matin 7h 1/2 1847
Drouet, Juliette (Julienne Gauvain, dite)
Datación
En 25–07–1847
Museo
Casas de Victor Hugo en París y Guernesey
Autor(es)
Drouet, Juliette (Julienne Gauvain, dite) (Fougères, 10–04–1806 - Paris, 11–05–1883), auteur du texte
Fecha
En 25071847
Datación (siglo)
Tipo(s) de objeto(s)
Denominación(ciones)
Número de inventario
a7948
Lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo, 25 juillet dimanche matin 7h 1/2 1847

Información detallada

Autor(es)
Drouet, Juliette (Julienne Gauvain, dite) (Fougères, 10–04–1806 - Paris, 11–05–1883), auteur du texte
Fecha de producción
En 25071847
Datación (siglo)
Tipo(s) de objeto(s)
Denominación(ciones)
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 20.8 cm
  • Largeur : 13 cm
Descripción

4 Feuillets

Marcas, inscripciones, cuños
Inscription - 25 juillet [1847], dimanche matin, 7 h. ½Bonjour, mon Toto, bonjour, mon petit homme, bonjour. Tu n’as pas voulu me réveiller cette nuit en me parlant et j’étais trop endormie moi-même pour me réveiller seule. Aussi c’est à travers un roupillement hideux que j’ai su que tu étais là et que tu y es très peu resté. Je devrais t’en vouloir plus qu’à moi et cependant, par une injuste préférence, c’est à moi que j’adresse tous les reproches et toutes les injures qu’en bonne conscience tu mérites encore plus que moi ; car si tu m’avais parlé cette nuit au lieu de garder ce silence soporifique j’aurais pu mettre davantage à profit ta bonne et charmante visite. Nous verrons si tu m’en dédommageras en venant de bonne heure aujourd’hui. Tu sais que tu ne peux pas revenir ce soir ? Cela seul, si tu m’aimes un peu, devrait te faire venir plus tôt. Quand je te vois je suis si heureuse ! Il me semble que je n’ai rien perdu et que je n’ai rien à redouter pour l’avenir. Dès que tu me quittes toutes ces douces illusions s’en vont et je reste avec la plus triste et la plus douloureuse des réalités. C’est pour cela, mon doux adoré, que je te prie avec tant d’insistance de venir le plus que tu peux et de t’en aller le moins possible. Ce ne sont pas des prières désintéressées mais elles sont bien tendres et bien passionnées.JulietteMVH, α 7948Transcription de Nicole Savy
Fecha de adquisición
01121967
Número de inventario
a7948

Indización

Datation en siècle

Type(s) d'objet(s)

Dénomination(s)

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