" Faubourien regardant l' Anglais crier vive l'Empereur "
Autor(es):
Hugo, Victor (Besançon, 26–02–1802 - Paris, 22–05–1885), dessinateur
Fecha:
Vers 1864 — 1869
Datación (siglo):
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Materiales y técnicas:
Institución :
Número de inventario:
949
" Faubourien regardant l' Anglais crier vive l'Empereur "
Información detallada
Autor(es):
Hugo, Victor (Besançon, 26–02–1802 - Paris, 22–05–1885), dessinateur
Fecha de producción:
Vers 1864 — 1869
Datación (siglo):
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Materiales y técnicas:
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 18.5 cm
- Largeur : 12.3 cm
Marcas, inscripciones, cuños:
Inscription - En bas, à l'encre brune : " faubourien regardant l' Anglais / crier vive l'Empereur. "
Poinçon - VH
Inscription - 24 (?)
Forma de adquisición:
Nombre del donador, testador o vendedor:
Fecha de adquisición:
1903
Institución:
Número de inventario:
949
Prolongación
Indización
Artista / autor
Datation en siècle
- 2e millénaire
- 19e siècle (109.898)
- 2e moitié du 19e siècle
- 3e quart du 19e siècle
- 2e moitié du 19e siècle
- 19e siècle (109.898)
Periodo
Type(s) d'objet(s)
- Discipline (354.755)
- Arts graphiques (252.326)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (263.684)
- Dessin (68.090)
Matériaux et techniques
- Techniques (289.819)
- Technique dessin (77.041)
- Plume (arts graphiques) (7.955)
- Lavis (8.288)
- Technique dessin (77.041)
- Matériaux (144.094)
- Matériau d'origine végétale (91.525)
- Papier (74.925)
- Papier vélin (5.121)
- Papier (74.925)
- Matériau d'origine végétale (91.525)
« Faubourien regardant l’Anglais crier vive l’Empereur » fait paire avec « Anglais criant : vive l’Empereur ! mais gardant, comme Anglais, son chapeau sur la tête » (inv. n° 948). Tous deux font partie de ce que Victor Hugo appelle ses « figurines » et qu’il a regroupées notamment dans un album intitulé « Théâtre de la Gaîté » (Bibliothèque nationale) et ils évoquent aussi les « Gens de la foule » que l’on retrouvera dans « La Sorcière » (inv. n° 930). Il est probable que ce duo transpose dans la satire anti-impériale le souvenir de la visite de la reine Victoria à Guernesey, le 14 août 1859, que Victor Hugo rapporte dans son agenda. La souveraine débarquant un dimanche, les Guernesiais manifestèrent leur désapprobation de ne pas respecter le repos du septième jour en n’ôtant pas leur chapeau sur son passage. Hugo fut le seul à se décoiffer, saluant la femme, non la souveraine.