[Le Dernier jour d'un condamné] Le dernier jour d'un condamné

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[Le Dernier jour d'un condamné] Le dernier jour d'un condamné
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
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Le Dernier jour d'un condamné (V.Hugo)
[Le Dernier jour d'un condamné] Le dernier jour d'un condamné
Boulanger, Louis Candide
Datation
Vers 1830
Musée
Maison de Victor Hugo - Hauteville House
Auteur(s)
Boulanger, Louis Candide (Vercelli, 11–05–1806 - Dijon, 05–03–1867), dessinateur-lithographe
Dates
Vers 1830
Datation en siècle
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Matériaux et techniques
Numéro d’inventaire
383.1
[Le Dernier jour d'un condamné] Le dernier jour d'un condamné

Informations détaillées

Auteur(s)
Boulanger, Louis Candide (Vercelli, 11–05–1806 - Dijon, 05–03–1867), dessinateur-lithographe
Motte, Charles (en 1785 - en 1836), imprimeur-lithographe
Date de production
Vers 1830
Datation en siècle
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Matériaux et techniques
Dimensions - Trait carré:
  • Hauteur : 22 cm
  • Largeur : 25.5 cm
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 29 cm
  • Largeur : 35 cm
Dimensions - Montage:
  • Hauteur : 38 cm
  • Largeur : 53 cm
Description

Oeuvre fixée dans un montage passe partout

Marques, inscriptions, poinçons
Lettre - Signature sous l'image à gauche : 'Louis Boulanger del" ; signature sous l'image à droite : "Litho de Ch Motte" ; titre en dessous, centré : "LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNE" ; et en dessous à droite : "London pub by C Motte, 23 Leicester Square"
Description iconographique

Boulanger traduit l’hallucination du condamné dans sa cellule, à la fin du chapitre XII du roman de Victor Hugo : « Je ne suis ni visionnaire, ni superstitieux. Il est probable que ces idées me donnaient un accès de fièvre ; mais pendant que je rêvais ainsi, il m’a semblé tout à coup que ces noms fatals étaient écrits avec du feu sur le mur noir ; un tintement de plus en plus précipité a éclaté dans mes oreilles ; une lueur rousse a rempli mes yeux ; et puis il m’a paru que le cachot était plein d’hommes, d’hommes étranges qui portaient leur tête dans leur main gauche, et la portaient par la bouche, parce qu’il n’y avait pas de chevelure. Tous me montraient le poing, excepté le parricide. J’ai fermé les yeux avec horreur, alors j’ai tout vu plus distinctement. / Rêve, vision ou réalité, je serais devenu fou, si une impression brusque ne m’eût réveillé à temps. J’étais près de tomber à la renverse lorsque j’ai senti se traîner sur mon pied nu un ventre froid et des pattes velues ; c’était l’araignée que j’avais dérangée et qui s’enfuyait. / Cela m’a dépossédé. — Ô les épouvantables spectres ! — Non, c’était une fumée, une imagination de mon cerveau vide et convulsif. Chimère à la Macbeth ! Les morts sont morts, ceux-là surtout. Ils sont bien cadenassés dans le sépulcre. Ce n’est pas là une prison dont on s’évade. Comment se fait-il donc que j’aie eu peur ainsi ? / La porte du tombeau ne s’ouvre pas en dedans. »

Thèmes / Sujets / Lieux représentés :
Numéro d’inventaire
383.1

Prolongement

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Indexation

Datation en siècle

  • 2e millénaire
    • 19e siècle (113 817)
      • 1ère moitié du 19e siècle
        • 2e quart du 19e siècle

Type(s) d'objet(s)

Dénomination(s)

Matériaux et techniques

Theme representé

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