Exercices calligraphiques

La pl. présente les membres du gouvernement sous forme de portraits calligraphiques caricaturaux. De gche à dte et de ht en bas : Louis-Philippe, de profil (toupet et favoris). Puis « cette tête grasse et bête, est celle d’un sot, qui fut ministre » (in explication) ( ?). Puis Louis-Philippe en chérubin dont le visage est assimilé à une poire, avec des ailes. Puis Lobau. Puis « un jeune héros, connu par le sobriquet enfantin », le duc d’Orléans. Ensuite d’Argout avec son grand nez. Puis Louis-Philippe avec un visage de poire et volontiers décoré. Puis Persil en habit de magistrat et affublé d’un nez en forme de scie. Puis Dupin en habit de magistrat. Puis « Le révolutionnaire de 1793, ganache en 1832 » (in explication) (?). Barthe en vêtements de justice, une balance au-dessus de son épaule dte. Puis Soult tenant un cierge à la main. Puis Guizot. Enfin, en bas, la figure de Talleyrand formant une ligne avec d’autres motifs : deux mitres d’évêque, deux fleurs de lys et deux visages dos à dos. Nous renvoyons à l’explication pour connaître la désignation caricaturale de chaque figure. La légende joue sur deux sens du mot « traits », désignant à la fois les traits du visage des personnages, et les traits calligraphiques, les tracés.