Le GigaPixel est un outil numérique incomparable pour plonger dans les détails des objets, apprécier la touche de l’artiste, le savoir-faire d’une technique et découvrir des détails non visibles à l’œil nu. Ce sont une centaine d’œuvres qui ont été numérisées en très haute définition en 2019 avec la technologie développée par Madpixel.
Ce parcours vous propose de retrouver la plupart de ces oeuvres.
Pour accèder à l'oeuvre en très haute définition, cliquez sur le lien proposé dans les cartels développés à côté ou sous les oeuvres (en liquant sur "+").
Vous pouvez retrouver toutes les oeuvres numérisées sur l'application mobile Second Canvas : http://parismusees.paris.fr/fr/actualite/application-second-canvas-decou...
En plus de l'application mobile, une exposition 100% numérique s'est tenue à San Sebastien pour faire découvrir ce projet de grand ampleur sur les collections des musées de la Ville de Paris : http://parismusees.paris.fr/fr/actualite/une-exposition-100-numerique-a-...
- Les oeuvres du musée d'Art Moderne
- Les oeuvres de la maison Balzac
- Les oeuvres du musée Bourdelle
- Les oeuvres du musée Carnavalet
- Les oeuvres du musée Cernuschi
- Les oeuvres du musée Cognacq-Jay
- Les oeuvres du Palais Galliera
- Les oeuvres du musée de la Libération
- Les oeuvres du Petit Palais
- Les oeuvres du musée de la Vie Romantique
- Les oeuvres des maisons de Victor Hugo
- Les oeuvres du musée Zadkine
Situé dans le palais de Tokyo construit pour l’exposition internationale de 1937, le Musée d’art moderne de la Ville de Paris a été inauguré en 1961.
Dès ses origines, les donateurs, collectionneurs ou artistes ont constitué une source essentielle à l’enrichissement du musée.
Ainsi, c’est au legs exceptionnel du docteur Maurice Girardin en 1953 (plus de 500 œuvres) que l’on doit les points forts de l’actuelle collection avec un noyau de peintures fauves, un ensemble important d’œuvres cubistes et de nombreuses œuvres de l’École de Paris.
Avec près de 10 000 œuvres, les collections du Musée d'Art moderne de la Ville de Paris représentent la richesse de la création artistique aux XXe et XXIe siècles et témoignent du dynamisme de la scène artistique contemporaine.
Les oeuvres du musée d'Art Moderne
Les chefs d'oeuvre du musée
Le phare de Collioure
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La femme en rouge
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Femme aux yeux bleus
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Portrait de Pierre Bonnard
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Nichée sur les coteaux de Passy, la Maison de Balzac est la seule des demeures parisiennes du romancier qui subsiste aujourd’hui.
C’est dans le cabinet de travail que Balzac a corrigé, de 1840 à 1847, l’ensemble de La Comédie humaine et a écrit quelques-uns de ses chefs-d’œuvre. Le musée présente des souvenirs personnels de Balzac, des tableaux, gravures et objets relatifs à ses proches et à ses contemporains, ainsi qu’un grand nombre d’éditions originales, manuscrits et illustrations.
Les oeuvres de la maison Balzac
Les oeuvres en très haute définition
Madame de Bastarnay yssit en grant deuil
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[Motifs résumant la vie de Raphaël de Valentin]
Dans les jardins et les ateliers où Antoine Bourdelle (1861-1929) a vécu et travaillé, le musée Bourdelle abrite un ensemble de plâtres, de bronzes et de marbres de celui qui fut le praticien de Rodin, le maître de Giacometti, de Germaine Richier et de Vieira da Silva.
Ce musée possède également un fonds exceptionnel d’archives et de photographies relatifs à la vie et à l’œuvre de l’artiste. Depuis juin 2012, les visiteurs du musée profitent d’un nouveau parcours au sein des collections permanentes : pédagogique, chronologique et sensible il met en lumière l’évolution artistique de Bourdelle.
Les oeuvres du musée Bourdelle
Les chefs d'oeuvre du musée
Beethoven
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Anatole France
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Anatole France
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Anatole France
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Annibal. Oeuvre de jeunesse
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Projet architecture, théâtre des Champs-Elysées
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L'archer grec
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Nijinski
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Tête de Gorgone, étude
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Anatole France
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Les principales collections historiques sont celles du musée Carnavalet – Histoire de Paris. Musée de l’histoire de Paris, ville capitale, métropole et ville-monde, il associe l’histoire, l’archéologie et l’identité sociale et urbaine.
Situé au cœur du secteur sauvegardé du Marais, dans des bâtiments classés, le musée Carnavalet célèbre en 2016 ses 150 ans d’histoire. Ses collections extraordinaires, encore trop méconnues, se déploient du néolithique à nos jours. De la pirogue découverte lors des fouilles archéologiques de Bercy aux mascarons du Pont-Neuf, de la maquette de l’île de la Cité au café militaire de Ledoux, des dessins révolutionnaires de Lesueur à la bijouterie Fouquet décorée par Mucha, on y croise les trajectoires singulières des hommes et des femmes qui ont aimé Paris et façonné son histoire, comme Sainte Geneviève, Etienne Marcel, Madame de Sévigné, le baron Haussmann ou encore Marcel Proust. Mais, à travers les décors, enseignes, pièces de mobilier, peintures, sculptures, médailles, maquettes, objets d’art et d’histoire, estampes, dessins, affiches et photographies, c’est aussi l’histoire de tous les Parisiens, d’hier et d’aujourd’hui, qui est racontée.
Les oeuvres du musée Carnavalet
Les chefs d'oeuvre du musée
Ceremonia de colocación de la primera piedra de la nueva iglesia de Santa Genoveva
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Déclaration des droits de l'homme et du citoyen.
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La Chasse, boiserie provenant de l'hôtel du duc de Richelieu
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La descente de la Courtille, le mercredi des Cendres 1823
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La descente de la Courtille.
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La fête de la Fédération, le 14 juillet 1790, au Champ-de-Mars, actuel 7ème arrondissement.
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La joute des mariniers, entre le pont Notre-Dame et le pont au Change
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Le boulevard Poissonière sous la pluie
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Le marché aux fleurs, la Tour de l'Horloge, le Pont au Change et le Pont-Neuf
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Les oeuvres en très haute définition
Al mercado y la Fuente de los Inocentes
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Le "Roman des chevaliers de la gloire", grand carrousel donné place Royale (actuelle place des Vosges) du 5 au 7 avril 1612 à l'occasion du mariage de Louis XIII avec Anne d'Autriche, actuel 4ème arrondissement.
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Les conscrits de 1807 défilant devant la porte Saint-Denis
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Luis XV, de 5 años, abandona la "lit de Justice" [sesión parlamentaria] celebrada en el palacio el 12 de septiembre de 1715
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Portrait de Juliette Récamier, née Bernard (1777-1849).
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Procession de la Ligue sur l'île de la Cité, au sortir de Notre-Dame.
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Scène de la vie de saint Benoît : l'ange désignant à saint Benoît l'emplacement du monastère du mont Cassin.
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La Fête de l'Etre Suprême au Champs de Mars le 20 prairial an II (8 juin 1794)
Composition allégorique : le peuple jurant fidélité sur les tables des Droits de l'homme et de la Constitution.
Le Triomphe du peuple français. Projet de décoration
Portrait de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné (1626-1696), d'après le portrait de Claude Lefébvre
Françoise-Marguerite de Sévigné, comtesse de Grignan (1648-1705), vers 1669.
Le cortège du baptême du Roi de Rome
Salida del embajador de la Sublime Puerta, Mehemet-Effendi
La Seine vue du Pont-Neuf, vers 1665, actuel 1er arrondissement. la statue d'Henri IV, le Louvre.
Vue générale des décorations, illuminations et feux d'artifice de la fête donnée par la Ville de Paris à l'occasion du mariage de madame Louise-Elisabeth de France et de Dom Philippe, infant et grand amiral d'Espagne, 29 août 1739
Travaux au Champ-de-Mars pour la fête de la Fédération
Bal du cabaret des Quat-z’Arts
Almanach pour l'année 1697 / Bureau d'adresses pour les curieux où ils trouveront les principaux évènements de l'année 1696
La Promenade publique au Palais-Royal en 1792
Physionomie de Paris./Voiture aux Chèvres/Champs-Elysées.
Perspective de la Ville de Paris. Veüe du Pont des Tuileries. Lutetiae, e Ponte Laterariarum Prospectus
Vue du port Saint-Paul prise au bas du parapet [...].
L'admirable dessein de la porte et place de France avec ses rues commencée[s] à construire [...sous Henri 4. 1610] (IFF329)
Les peintures de Charles Le Brun et d'Eustache Le Sueur de l'hôtel Lambert. Vue de l'intérieur du Cabinet de l'Amour.
Auditus . L'Ouye.
Arc de Triomphe du Carrefour de la Fontaine sainct Gervais
Château de Versailles
Les Tuileries
En 1896, le financier Henri Cernuschi légua à la Ville de Paris son hôtel particulier à l’orée du parc Monceau et sa collection d’art d’Extrême-Orient acquise lors de son tour du monde.
Dans cet hôtel particulier de l'architecte William Bouwens der Boijen (1834-1907), une grande pièce centrale est aménagée pour offrir une place d'honneur à la pièce la plus impressionnante de la collection, le Bouddha Amida. Conservateur de 1905 à 1932, Henri d'Ardenne de Tizac (1877-1932) métamorphose une maison de voyageur en une institution patrimoniale moderne, en liaison avec le monde savant et soutenue, à partir de 1922, par une active société d'amis. Il spécialise le musée dans l'art et l'archéologie de la Chine ancienne, des origines au XIIIe siècle. Tout en conservant cette orientation, les directeurs successifs continuèrent à montrer de forts intérêts pour les autres cultures extrême-orientales (Japon, Viêt-Nam). Le musée complètement rénové en 2005, possède dorénavant un remarquable ensemble d’art asiatique, régulièrement enrichi par des acquisitions et des dons, et notamment l’une des plus grandes collections d’art chinois en Europe.
Les oeuvres du musée Cernuschi
Les oeuvres en très haute définition
Rêveur
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Paysage de neige
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Li Bai admirant une cascade ( 李白観瀑)
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Au cœur du Marais, dans un bel hôtel classé monument historique (XVIe-XVIIIe siècles), le musée présente les collections d’art réunies par Ernest Cognacq, fondateur des magasins de la Samaritaine, et sa femme Marie-Louise Jay, léguées à la Ville de Paris en 1928.
À l’exception notable d’un important tableau de jeunesse de Rembrandt, l’essentiel des œuvres présentées date du XVIIIe siècle : peintures de Canaletto, Tiepolo, Boucher, Fragonard, Greuze, Reynolds ; pastels de La Tour et Perronneau ; sculptures de Houdon, Lemoyne, Clodion ; porcelaines de Saxe ; objets d’orfèvrerie ; meubles estampillés, etc. Loin d’être « close », à l’image d’autres grandes institutions issues des collections d’un particulier, la collection Cognacq-Jay est enrichie annuellement par des acquisitions qui s’inscrivent dans les axes formés par le goût et le regard d’un collectionneur du début du XXe siècle, au moment même où les arts du XVIIIe siècle sont une référence incontournable de tout intérieur bourgeois. La nature de la collection, constituée d’objets de petites dimensions, mais également la sélection de sujets iconographiques touchant à l’intime, de la scène d’intérieur au portrait, en font un espace de rencontre privilégié avec l’esprit du XVIIIe siècle français tel qu’il était conçu à l’ère des Cognacq : un siècle où les sociabilités, les échanges et l’art de vivre figurent au cœur du développement individuel.
Les oeuvres du musée Cognacq-Jay
Les chefs d'oeuvre du musée
La Belle Cuisinière
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La Consolation de l'absence
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Le Banquet de Cléopâtre
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La Lettre
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Vue du canal de Santa Chiara, à Venise
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L'Abreuvoir
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L'Indiscret
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Les oeuvres en très haute définition
Le Grand Canal, vu du pont du Rialto
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Le Repos des nymphes au retour de la chasse, dit Le Retour de chasse de Diane
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Le Vieux Chêne
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L'Accident
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Perrette et le pot au lait
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Portrait de l'architecte Claude-Nicolas Ledoux
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Portrait présumé de Marie-Emilie Baudouin, fille du peintre
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À deux pas des plus prestigieuses vitrines de la couture, un palais d’inspiration Renaissance abrite le musée Galliera.
Nées d’un fonds constitué dès le milieu du XIXe siècle par la Société d'histoire du costume, ses collections n’ont cessé de s’enrichir depuis lors, notamment grâce à la générosité de nombreux donateurs. Estimées aujourd'hui à 243.000 pièces, les collections du musée de la Mode de la Ville de Paris sont le reflet des codes de l’habillement en France, du XVIIIe à nos jours. Ces dernières années, 500 à 1.500 pièces par an sont venues enrichir ce fonds exceptionnel, essentiellement grâce au soutien de généreux donateurs.
Les oeuvres du Palais Galliera
Les oeuvres en très haute définition
Cape
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Jaquette
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Chapeau
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Veste
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Manteau
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Veste
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Paire de mules
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Robe et jupe de robe
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Robe
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Robe
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Turban
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Ensemble (habillement)
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Veste
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Un moment crucial de l’histoire du XXe siècle, celui de la deuxième guerre mondiale, est présenté et expliqué au public à travers les collections de ce musée, par le biais des trois compagnons de l’ordre de la Libération que sont Leclerc, Moulin et la Ville de Paris.
Les collections « Général Leclerc » sont issues d’une part de la donation du fonds historique à la Mairie de Paris par la Fondation du Maréchal Leclerc de Hauteclocque – fonds conservé au quartier Gramont à Saint-Germain-en-Laye jusqu’en 1994 – et d’autre part de dons effectués par les Anciens Français libres et de la 2e DB. Ces collections se composent principalement d’objets personnels et de la vie quotidienne ayant appartenu au Général ainsi qu’à ses soldats, couvrant les périodes Seconde guerre mondiale, l’Indochine et l’Afrique du nord, jusqu’à la mort accidentelle de Leclerc en 1947. Les collections « Jean Moulin » furent constituées en grande partie par l’apport de deux legs importants, celui de Madame Antoinette Sasse en 1987 puis celui de Mesdames Andrée Dubois et Suzanne Escoffier, cousines de Jean Moulin, en 2012. Ces deux fonds rassemblent des archives privées émanant ou relatives à Jean Moulin (photographies, lettres, dessins, papiers personnels), ainsi que des journaux, coupures de presse et souvenirs lui rendant hommage. Enfin, le musée dispose de riches collections autour de la Libération de Paris : armes FFI, copies d’écoles des enfants de la Libération, en passant par des photographies, affiches, dessins et témoignages du pavoisement des Parisiens (partitions de chants populaires, cartes postales, brassards FFi, bouquets patriotiques et drapeaux). Ces collections sont issues notamment de nombreux dons de particuliers et comptent un grand nombre de photographies, d’images instantanées prises par des témoins directs et des acteurs.
Les oeuvres du musée de la Libération
Les chefs d'oeuvre du musée de la Libération
La mendiante au calvaire breton / 6e eau-forte
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Construit pour l’Exposition universelle de 1900, le bâtiment du Petit Palais, chef d’œuvre de l’architecte Charles Girault, est devenu en 1902 le Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris.
Il présente une très belle collection de peintures, sculptures, mobiliers et objets d’art datant de l’Antiquité jusqu’en 1914. Parmi ses richesses se distinguent une collection exceptionnelle de vases grecs et un très important ensemble de tableaux flamands et hollandais du XVIIe siècle autour du célèbre Autoportrait au chien de Rembrandt. Sa magnifique collection de tableaux français des XVIIIe et XIXe siècles compte des œuvres majeures de : Fragonard, Greuze, David, Géricault, Delacroix, Courbet, Pissarro, Monet, Renoir, Sisley, Cézanne et Vuillard. Dans le domaine de la sculpture, le musée s’enorgueillit de très beaux fonds Carpeaux, Carries et Dalou. La collection d’art décoratif est particulièrement riche pour la Renaissance et pour la période 1900, qu’il s’agisse de verreries de Gallé, de bijoux de Fouquet et Lalique, ou de la salle à manger conçue par Guimard pour son hôtel particulier. Le musée possède enfin un très beau cabinet d’arts graphiques avec, notamment, les séries complètes des gravures de Dürer, Rembrandt, Callot ... et un rare fond de dessins nordiques.
Les oeuvres du Petit Palais
Les chefs d'oeuvre du Petit Palais
Les demoiselles des bords de la Seine (été)
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Soleil couchant sur la Seine à Lavacourt, effet d'hiver
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Situé dans le quartier romantique de la « Nouvelle Athènes », le musée de la Vie romantique offre un écrin précieux à ses collections, un ensemble d’œuvres qui sont, pour leur plus grande part, en relation directe avec les arts en France sous la Monarchie de Juillet ; la présentation est centrée sur les peintures du peintre Ary Scheffer et de son entourage.
Ary Scheffer, occupant illustre de cette demeure, y a en effet reçu le Tout-Paris de l’époque : Delacroix, Rossini, Sand, Chopin, Gounod, Tourgueniev, Dickens, etc. Au départ musée de charme et mémoriel construit sur quelques grandes figures, le parcours des collections permanentes propose aujourd’hui un récit où se superposent la biographie des personnalités liées au lieu, l’évocation de la vie culturelle de la monarchie de Juillet, la création artistique de la période romantique et l’œuvre littéraire d’un penseur de la deuxième moitié du XIXe siècle. Dans le parcours se trouvent également les souvenirs de George Sand appartenant à la ville de Paris, conservés et montrés rue Chaptal en raison d’une parfaite adéquation entre le lieu, le projet et la place de l’écrivain dans la vie artistique du XIXe siècle.
Les oeuvres du musée de la Vie Romantique
Les chefs d'oeuvre du musée
Lénore, les morts vont vite
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Atelier d'Ary Scheffer, rue Chaptal
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Le Concert
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Eberhard, comte de Wurtemberg, pleurant la mort de son fils, dit le Larmoyeur
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Eventail des caricatures
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Marguerite tenant le corps de son enfant
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Les oeuvres en très haute définition
Miranda fait une partie d'échec avec Ferdinand qu'elle accuse, en plaisantant, de tricher
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Paolo et Francesca
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Papaver Somniferum
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Paysage imaginaire
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Portrait charge d'Alexandre Dumas
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Portrait de George Sand
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Portrait de Pauline Viardot
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La Ville de Paris conserve les deux maisons que Victor Hugo occupa le plus longtemps, l’hôtel de Rohan-Guéménée, à Paris, et Hauteville House à Guernesey.
L’hôtel de Rohan-Guéménée devient musée en 1902, grâce à la donation que fait Paul Meurice à la Ville de Paris. L’appartement habité par Victor Hugo de 1832 à 1848, restitue aujourd’hui sa vie au fil des trois périodes déterminantes : avant l’exil, pendant l’exil, depuis l’exil. En 1927, deux ans après la mort de Georges Hugo (le petit-fils de Victor), sa sœur et ses enfants, Marguerite, François et Jean, font don à la Ville de Paris, de la maison que Hugo avait acquise et aménagée à Guernesey, Hauteville House. Ce lieu symbolique à la fois de l’exil et de l’écriture de tant de grandes œuvres est aussi l’expression, à travers ses saisissants décors de l’univers poétique et philosophique de Victor Hugo. De nos jours, les visiteurs qui se rendent à Guernesey, peuvent découvrir ce sanctuaire conservé dans son intégrité. A Paris, le musée se partage entre l’appartement de Victor Hugo au second étage et un espace dévolu, au premier étage, aux expositions temporaires. Le musée en organise deux par ans, offrant à la fois de découvrir les collections que leur nature ne permet pas d’exposer en permanence et les résonnances que l’œuvre prodigieusement riche et moderne de Victor Hugo garde aujourd’hui.
Les oeuvres des maisons de Victor Hugo
Les chefs d'oeuvre des maisons
Champignon
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Collage de Hauteville House
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Frontispice Album Allix
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La conscience
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Le Burg à la Croix
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Le gai château
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Léopoldine au Livre d'Heures
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Léopoldine Hugo à l'âge de quatre ans
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Victor Hugo dans le rocher des Proscrits
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Adèle à la cerise
Copeau pour "Les Travailleurs de la mer", I, I, 8, I, VI, 7, etc. ["A brûler"]
Le musée Zadkine, lieu de mémoire et de charme, est installé dans les ateliers et la maison où vécut et travailla pendant près de quarante ans Ossip Zadkine (1890-1967), sculpteur d’origine russe et figure majeure de l’École de Paris.
À l’occasion de son trentième anniversaire et après une année de travaux, le rendant accessible à tous, le musée rouvre ses portes le 10 octobre 2012, avec une présentation de ses collections a été pensée autour de la question de la matière pour faire dialoguer, sous la lumière des verrières, plâtres, terres, bois et pierres. Outre les sculptures, fleurons des collections, le musée conserve notamment des dessins et gouaches de la main de l’artiste, des photographies d’ateliers et un riche fonds d’archives, ainsi que le fonds d’œuvres de Valentine Prax, artiste et veuve de Zadkine.
Les oeuvres du musée Zadkine
Les chefs d'oeuvre du musée
L'oiseau d'or
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Léda
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Maternité
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