Le Pont de la Tournelle, l'Ile Saint-Louis et l'Estacade, vus de l'île Louviers
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Le Pont de la Tournelle, l'Ile Saint-Louis et l'Estacade, vus de l'île Louviers
CC0 Paris Musées / Musée Carnavalet - Histoire de Paris
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Le Pont de la Tournelle, l'Ile Saint-Louis et l'Estacade, vus de l'île Louviers
Cuisin, Charles-Emile
Datation
Vers 1877
Musée
Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Auteur(s):
Cuisin, Charles-Emile (Paris, en 1832 - vers 1900), peintre
Dates:
Vers 1877
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Institution :
Numéro d’inventaire:
P1746
Le Pont de la Tournelle, l'Ile Saint-Louis et l'Estacade, vus de l'île Louviers
Informations détaillées
Auteur(s):
Cuisin, Charles-Emile (Paris, en 1832 - vers 1900), peintre
Date de production:
Vers 1877
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 16.3 cm
- Largeur : 31.2 cm
Dimensions - Cadre:
- Hauteur : 26 cm
- Largeur : 41 cm
- Epaisseur : 5 cm
Description:
Huile sur toile encadrée.
Marques, inscriptions, poinçons:
Inscription concernant l'auteur - Inscription au revers, sur une étiquette à demi-effacée : "Je tiens de mon père Frédéric Régamey que ce petit tableau qui me / vient de lui est l'œuvre de Charles Cuisin comme lui élève de Lecoq / de Boibaudran / [signé] R. Régamey."
Mode d'acquisition:
Nom du donateur, testateur, vendeur:
Date d’acquisition:
1945
Institution:
Numéro d’inventaire:
P1746
Prolongement
Indexation
Artiste / Auteur
Datation en siècle
- 2e millénaire
- 19e siècle (109 898)
- 2e moitié du 19e siècle
- 19e siècle (109 898)
Période
Type(s) d'objet(s)
- Discipline (354 755)
- Peinture (7 269)
Matériaux et techniques
- Techniques (289 819)
- Technique peinture (6 515)
- Peinture à l'huile (6 175)
- Technique peinture (6 515)
- Matériaux (144 094)
- Matériau d'origine végétale (91 525)
- Toile (matériau) (3 628)
- Matériau d'origine végétale (91 525)
Afin de réduire les risques de destruction des ponts et des bateaux par les débâcles ou les crues hivernales de la Seine, on implanta en certains lieux rétrécis, des estacades (digues en bois) qui étaient destinées à retenir le flux des glaces et à protéger les bateaux. Une ouverture centrale appelé le pertuis que l'on pouvait obstruer en cas de nécessité, permettait un trafic fluvial normal. Paris compta deux estacades. Celle de l'île Louviers, la plus ancienne, située au-dessus de l'île Saint-Louis, s'étendait entre la pointe occidentale de l'île Louviers et la rive droite.