Le dévouement héroïque de Mademoiselle de Sombreuil à la prison de l’abbaye de Saint-Germain des Prés

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Le dévouement héroïque de Mademoiselle de Sombreuil à la prison de l’abbaye de Saint-Germain des Prés
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Le dévouement héroïque de Mademoiselle de Sombreuil à la prison de l’abbaye de Saint-Germain des Prés
Anonyme
Datation
Entre 16–08–1792 et 1792
Musée
Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Auteur(s)
Anonyme, dessinateur
Dates
Entre 16081792 et 1792
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Numéro d’inventaire
D.8176
Le dévouement héroïque de Mademoiselle de Sombreuil à la prison de l’abbaye de Saint-Germain des Prés

Informations détaillées

Auteur(s)
Anonyme, dessinateur
Date de production
Entre 16081792 et 1792
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 56.5 cm
  • Largeur : 76.9 cm
Dimensions - Montage du musée:
  • Hauteur :  cm
  • Largeur :  cm
Marques, inscriptions, poinçons
Tampon - Tampon ovale, à l'encre violine, en bas à droite : "VILLE DE PARIS COLLECTION LIESVILLE" et : "CARNAVALET".
Description iconographique

Le dévouement héroïque de Mademoiselle de Sombreuil à la prison de l’abbaye de Saint-Germain des Prés, 16 août 1792. Une jeune femme agenouillée devant un militaire et d'autres hommes portant un bonnet phrygien, un vieil homme, derrière elle. Un autre homme relevant un blessé à terre.Cette scène de prison révolutionnaire présente une jeune femme qui pour sauver son père de la mort, accepte de boire un verre de sang. La victime sacrifiée semble être l’homme qui gît à gauche.

Commentaire historique

La vue de la jeune fille en larmes qui enveloppait son père de ses bras en demandant sa vie avec des accents fort suppliants émut les massacreurs ; après une courte enquête, Stanislas Marie Maillard, président d'un tribunal improvisé de la prison de l'Abbaye, déclara Monsieur de Sombreuil innocent.Altérée, Marie Maurille de Sombreuil demanda un verre d'eau ; celui-ci lui arriva tout rougi d'être passé entre plusieurs mains sanglantes, d'où l'origine de la légende représentant Marie Maurille obligée de boire un verre de sang humain pour obtenir la grâce de son père.Cette seconde version ne fait pas état de décapitation comme dans la première version. Il n'y a d'ailleurs jamais eu de guillotine à la prison de l'Abbaye.

Thèmes / Sujets / Lieux représentés :
Mode d'acquisition
Numéro d’inventaire
D.8176

Indexation

Artiste / Auteur

Type(s) d'objet(s)

Dénomination(s)

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