Le dieu Daikokuten 大黒天

Zoom
5 visuels Voir
CC0Télécharger
Le dieu Daikokuten 大黒天
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
X
Zoom
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
X
Zoom
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
X
Zoom
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
X
Zoom
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
X
Zoom
Autres visuels (5)
Le dieu Daikokuten 大黒天
Anonyme
Datation
Entre 1904 et 1922
Musée
Maison de Victor Hugo - Hauteville House
Auteur(s)
Dates
Entre 1904 et 1922
Datation en siècle
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Matériaux et techniques
Lieu(x) d'exécution / réalisation
Numéro d’inventaire
1286

Informations détaillées

Auteur(s)
Date de production
Entre 1904 et 1922
Datation en siècle
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Matériaux et techniques
Lieu(x) d'exécution / réalisation
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 33 cm
  • Largeur : 8 cm
  • Profondeur : 7 cm
Description

Statuette figurative chinoise

Marques, inscriptions, poinçons
Signature - Sur la base deux idéogrammes finement ciselés (Idéogramme(s) - kanji)
Description iconographique

Ivoire sculpté représentant le dieu Daikokuten 大黒天, l’une des Sept divinités du bonheur (Shichifukujin), dont le culte fut introduit au Japon à la fin du 8e siècle. Dieu de la prospérité et de la richesse, il accorde bonheur et fortune à ceux qui l’invoquent. Aujourd’hui Daikokuten est vénéré également comme dieu de l’agriculture, qui garantit l’abondance des vivres. Coiffé d’un bonnet (zukin), sa tenue ressemble au costume de noble kariginu, ici orné à l’aide de l’encre de Chine du motif de bon augure représentant des perles entrelacées (shippōtsunagi-mon). Daikokuten porte sur son épaule gauche un gros sac contenant du riz et tient d’habitude dans sa main droite, ce qui n’est pas le cas ici, le maillet qui exauce tous les désirs (uchide no kozuchi). Son sac est surmonté de deux souris, animaux considérés comme les messagères de Daikokuten et symboles de fertilité. A ses pieds, sur un socle évoquant un tronc d’arbre, figure un enfant chinois dont l'habit est décoré de motifs d'écailles de poisson (uroko) et de vagues (seigaiha). Cette sculpture a été probablement réalisée en ’ivoire de morse. Les défenses de cet animal étaient souvent utilisées en Asie, où l'ivoire d'éléphant n'était pas disponible. Le morse possède deux longues canines de 50 à 80 centimètres de long qui, chez le mâle, sont deux fois plus longues que celles de la femelle. Ce type d'ivoire ressemble à celui de l'éléphant, mais il est plus blanc et ne présente pas de lignes transversales. Il est mou et jaunit très rapidement.

Mode d'acquisition
Nom du donateur, testateur, vendeur
Date d’acquisition
1951
Numéro d’inventaire
1286

Prolongement

Prolongement

Lié à Archive / Œuvre

Œuvre en rapport

Indexation

Artiste / Auteur

Datation en siècle

Type(s) d'objet(s)

Dénomination(s)

Matériaux et techniques

Lieu d'exécution / réalisation

Retour vers le haut de page