L'Aigle impérial foudroyé par les Châtiments, d'après Honoré Daumier
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L'Aigle impérial foudroyé par les Châtiments, d'après Honoré Daumier
CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
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Autre visuel (1)
Les Châtiments (V.Hugo) - Aigle
L'Aigle impérial foudroyé par les Châtiments, d'après Honoré Daumier
Guérard, Henri-Charles
Datation
En 1875
Musée
Maison de Victor Hugo - Hauteville House
Auteur(s):
Guérard, Henri-Charles (Paris, 28–04–1846 - Paris, 24–03–1897 — 25–3–1897), graveur
Dates:
En 1875
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Institution :
Numéro d’inventaire:
2011.0.0039.01.3
L'Aigle impérial foudroyé par les Châtiments, d'après Honoré Daumier
Informations détaillées
Auteur(s):
Guérard, Henri-Charles (Paris, 28–04–1846 - Paris, 24–03–1897 — 25–3–1897), graveur
Daumier, Honoré (Marseille, 26–02–1808 - Valmondois, 10–02–1879), auteur du modèle
Delâtre, Eugène (Paris, 10–12–1864 - Paris, 24–09–1938), imprimeur
Librairie nouvelle (Paris), editeur
Autre titre :
Série de dix eaux-fortes de Henry Guérard sur papier de Hollande pour l’illustration des Châtiments de Victor Hugo, Paris, Librairie Nouvelle (Titre de l'ensemble)
Date de production:
En 1875
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Dimensions - Trait carré:
- Hauteur : 12.8 cm
- Largeur : 9.5 cm
Dimensions - Coup de planche:
- Hauteur : 14.7 cm
- Largeur : 10.3 cm
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 22.3 cm
- Largeur : 13.6 cm
Dimensions - Montage du musée:
- Hauteur : 43.2 cm
- Largeur : 37.8 cm
Description:
Epreuve d'esai, premier état, avant la lettre. Oeuvre sans montage.
Marques, inscriptions, poinçons:
Lettre - Signature en bas à gauche de l'image : "H. Guérard d'après Daumier" ; sous le trait carré, au centre : "Imp. Ch Delâtre"
Marque du musée - Tampon du musée à l'encre bleue, en bas à droite de l'estampe (Lugt 1270a)
Numéro d'inventaire - Au crayon graphite, au recto du montage, en bas à droite : "MVHPEREC452.2"
Thèmes / Sujets / Lieux représentés :
Institution:
Numéro d’inventaire:
2011.0.0039.01.3
Prolongement
Indexation
Datation en siècle
- 2e millénaire
- 19e siècle (109 898)
- 2e moitié du 19e siècle
- 3e quart du 19e siècle
- 2e moitié du 19e siècle
- 19e siècle (109 898)
Période
Type(s) d'objet(s)
- Type de support / matériau (277 754)
- Estampe (116 502)
- Discipline (354 755)
- Arts graphiques (252 326)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (263 684)
- Estampe (118 064)
Matériaux et techniques
- Techniques (289 819)
- Technique estampe (117 662)
- Gravure (54 599)
- Taille-douce (40 221)
- Eau-forte (30 321)
- Taille-douce (40 221)
- Gravure (54 599)
- Technique estampe (117 662)
Theme representé
- Scène (14 069)
- Scène littéraire (5 928)
Sujet représenté
- Iconographie, genres et modes de représentation (20 390)
- Iconographie (20 180)
- Genre iconographique (20 174)
- Scène (9 371)
- Scène littéraire (7 394)
- Ouvrage de Victor Hugo (7 212)
- Les Châtiments (V.Hugo) (137)
- Ouvrage de Victor Hugo (7 212)
- Scène littéraire (7 394)
- Scène (9 371)
- Genre iconographique (20 174)
- Iconographie (20 180)
- Oiseau (779)
Le graveur Henri Guérard, qui fut proche de Manet, qui le considérait comme "le seul graveur à l'eau-forte" et son "meilleur tireur", a fait ses débuts dans l’entourage de Richard Lesclide, secrétaire de Victor Hugo, en collaborant notamment à sa revue « Paris à l’eau-forte ». C’est à la demande de Lesclide que Guérard a réalisé au moins deux séries d’eaux-fortes pour la publication in-8 des "Châtiments" de Victor Hugo aux Édition Librairie nouvelle, mais aussi pour « napoléon le patit » et peut-être pour « Histoire d’un crime ». Les gravures auraient été censurées. De fait elles ne sont pas annoncées par la Bibliographie de la France, ni même indiquées dans l’Inventaire du fonds Français de la Bibliothèque nationale. Seul la série pour « Les Châtiments » semble avoir été publiée en portfolio sous le titre : « Série de dix-eaux-fortes de Henry Guérard sur papier de Hollande pour l’illustration des Châtiments de Victor Hugo, Paris, Librairie Nouvelle », au prix de 6 francs. Seules certaines planches y ont une lettre définitive avec un numéro. Le numérotage y est d’ailleurs discontinu. L’ensemble conservé par le musée est particulièrement précieux, compte tenu de la rareté signalée de ces gravures. Il conserve en effet des compositions et des variantes non retenues, ainsi que des épreuves d’essais.