Panneau, Dragon doré à huit doigts
Autor(es):
Hugo, Victor (Besançon, 26–02–1802 - Paris, 22–05–1885)
Fecha:
1863 — 1864
Datación (siglo):
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Materiales y técnicas:
Institución :
Número de inventario:
1071.3
Panneau, Dragon doré à huit doigts
Información detallada
Autor(es):
Hugo, Victor (Besançon, 26–02–1802 - Paris, 22–05–1885)
Otro título :
Cheminée monumentale aux dragons - Décor de la salle à manger de Hauteville II, maison de Juliette Drouet à Guernesey (Titre de l'ensemble)
Fecha de producción:
1863 — 1864
Datación (siglo):
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Materiales y técnicas:
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 106 cm
- Largeur : 60 cm
Descripción:
Monstre ou dragon gravé et doré sur fond noir chantourné à bordure dorée, placé dans la partie supérieure gauche de l’ensemble de la cheminée. Un dessin pour la tête se trouve dans le carnet conservé à la Bibliothèque nationale de France, NAF 13460 (folio 9 (15)).
Forma de adquisición:
Nombre del donador, testador o vendedor:
Fecha de adquisición:
1903
Institución:
Número de inventario:
1071.3
Forma parte de:
Prolongación
Indización
Artista / autor
Datation en siècle
- 2e millénaire
- 19e siècle (109.898)
- 2e moitié du 19e siècle
- 3e quart du 19e siècle
- 2e moitié du 19e siècle
- 19e siècle (109.898)
Periodo
Type(s) d'objet(s)
- Discipline (354.755)
- Arts décoratifs (6.229)
Dénomination(s)
- Architecture - Urbanisme (1.778)
- Elément d'architecture (1.339)
- Décor d'architecture (216)
- Elément d'architecture (1.339)
Matériaux et techniques
- Matériaux (144.094)
- Matériau d'origine végétale (91.525)
- Bois (matériau) (4.272)
- Matériau d'origine végétale (91.525)
Sur les photographies de Hauteville II, la cheminée est placée au milieu du mur Nord-Est de la salle à manger. Elle en occupe toute sa hauteur, suivant le principe des cheminées monumentales que Victor Hugo a créées à Hauteville House. Conçue pour Hauteville II, la cheminée a dû être réalisée en 1863-1864. Avant le déménagement de La Fallue, Hugo fait dorer le « cadre du Triptolème » qui est sans doute le miroir autour duquel il va concevoir sa composition. Dans une lettre du 7 mars 1864, Juliette Drouet écrit à Victor Hugo : « Je voudrais bien savoir si tu feras poser quelques assiettes aujourd’hui ainsi que les plaques et les statuettes de la cheminée. Je suis impatiente d’en voir l’effet général et définitif. » On peut donc penser que c’est à ce moment que la cheminée est achevée (« plaques » faisant sans doutés références aux trois plats de faïence qui sont incrusté dans le manteau).