"Modes néo-empire, nez-aux-empires"
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CC0 Paris Musées / Maisons de Victor Hugo Paris-Guernesey
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"Modes néo-empire, nez-aux-empires"
Hugo, Victor
Datación
Vers 1855
Museo
Casas de Victor Hugo en París y Guernesey
Autor(es):
Hugo, Victor (Besançon, 26–02–1802 - Paris, 22–05–1885), dessinateur
Fecha:
Vers 1855
Datación (siglo):
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Materiales y técnicas:
Institución :
Número de inventario:
2776
"Modes néo-empire, nez-aux-empires"
Información detallada
Autor(es):
Hugo, Victor (Besançon, 26–02–1802 - Paris, 22–05–1885), dessinateur
Fecha de producción:
Vers 1855
Datación (siglo):
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Materiales y técnicas:
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 17.2 cm
- Largeur : 22 cm
Marcas, inscripciones, cuños:
Inscription manuscrite - En bas à gauche : "Modes néo-empire / nez-aux-empires" ; verticalement, en haut à droite : "Ouvert à la demande de Mlle Allix"
Forma de adquisición:
Fecha de adquisición:
2000
Institución:
Número de inventario:
2776
Prolongación
Indización
Artista / autor
Datation en siècle
- 2e millénaire
- 19e siècle (109.898)
- 2e moitié du 19e siècle
- 3e quart du 19e siècle
- 2e moitié du 19e siècle
- 19e siècle (109.898)
Periodo
Type(s) d'objet(s)
- Discipline (354.755)
- Arts graphiques (252.326)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (263.684)
- Dessin (68.090)
Matériaux et techniques
- Techniques (289.819)
- Technique dessin (77.041)
- Plume (arts graphiques) (7.955)
- Encre (41.087)
- Technique dessin (77.041)
- Matériaux (144.094)
- Matériau d'origine végétale (91.525)
- Papier (74.925)
- Matériau d'origine végétale (91.525)
Ce dessin est à rapprocher de « Partant pour la scierie » (inv. n° 1386). Tous tradusisent sans doute des plaisanteries familières avec Augustine Allix, cantatrice, proche de la famille Hugo et partageant avec son frère le sort des proscrits à Jersey et Guernesey. Très précisément ici, est brocardé le chant « Partant pour la Syrie » qui était devenu l’hymne officieux du Second Empire en remplacement de La Marseillaise interdite. Ce chant, inspiré par la campagne d’Égypte de Bonaparte, avait été composé par Hortense de Beauharnais, mère de Napoléon III, et Alexandre de Laborde. Hugo joue ici sur les mots et l’expression « scie musicale » pour le rebaptiser « Partant pour la scierie ». Les proscrits eux-mêm se laissaient prenrde à la vogue obsessionnelle de la chason, au point qu’Adèle Hugo note dans son journal : « Mon père joue au Steeple en caressant Lux et en murmurant : Partant pour la Syrie ».