Un Seigneur - Ruy Blas
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Un Seigneur - Ruy Blas
Hugo, Jean
Datación
En 1938
Museo
Casas de Victor Hugo en París y Guernesey
Autor(es):
Hugo, Jean (Paris, 19–11–1894 - Lunel, 22–06–1984), dessinateur
Fecha:
En 1938
Datación (siglo):
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Materiales y técnicas:
Institución :
Número de inventario:
1512
Un Seigneur - Ruy Blas
Información detallada
Autor(es):
Hugo, Jean (Paris, 19–11–1894 - Lunel, 22–06–1984), dessinateur
Fecha de producción:
En 1938
Datación (siglo):
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Materiales y técnicas:
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 43 cm
- Largeur : 27 cm
Descripción:
Maquette de costume pour "Ruy Blas"
Marcas, inscripciones, cuños:
Tampon - Tampon maison de Victor Hugo
Annotation - Annotation en bas à droite "Seigneur"
Fecha de adquisición:
06–1988
Institución:
Número de inventario:
1512
Prolongación
Indización
Artista / autor
Datation en siècle
- 2e millénaire
- 20e siècle (95.923)
- 1ère moitié du 20e siècle
- 2e quart du 20e siècle
- 1ère moitié du 20e siècle
- 20e siècle (95.923)
Periodo
- Europe - périodes - règnes - évènements
Type(s) d'objet(s)
- Discipline (354.755)
- Arts graphiques (252.326)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (263.684)
- Dessin (68.090)
Matériaux et techniques
- Techniques (289.819)
- Technique dessin (77.041)
- Matériaux (144.094)
- Matériau d'origine végétale (91.525)
- Papier (74.925)
- Papier vergé (3.173)
- Papier (74.925)
- Matériau d'origine végétale (91.525)
« Ruy Blas » est repris à la Comédie-Française en 1938, pour le centenaire de la création de la pièce de Victor Hugo. La première a lieu le 23 mai. La mise en scène est de Pierre Dux (qui interprète aussi le rôle de Don Salluste) avec Jean Yonnel (Ruy Blas), Marie Bell (la Reine), Jean Debucourt (Don Salluste). Les décors et les costumes sont commandés à Jean Hugo. Celui-ci note dans ses mémoires : « Le centenaire de Ruy Blas tombait en 1938. Bourdet, alors adminsitrateur de la Comédie-Française, eut l’idée de m’en faire faire les décors. Il demanda à Mme de Polignac de m’en parler la première, de sa voix de sirène à laquelle on ne pouvait résister ; Mme Karinska avait déjà l’habitude de mes maquettes et, vers la fin mai, tout fut prêt. »