Portrait de Marie-Françoise-Camille, dite (par erreur) Casimire, comtesse de Sassenage, dite marquise de Sassenage

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Portrait de Marie-Françoise-Camille, dite (par erreur) Casimire, comtesse de Sassenage, dite marquise de Sassenage
CC0 Paris Musées / Musée Cognacq-Jay, le goût du XVIIIe
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Portrait de Marie-Françoise-Camille, dite (par erreur) Casimire, comtesse de Sassenage, dite marquise de Sassenage
Ecole française
Dating
Vers 1765
Museum
Musée Cognacq-Jay, le goût du XVIIIe
Creator(s)
Ecole française, dessinateur
Dates
Vers 1765
Century
Object type(s)
Type(s)
Materials / Technique
Museum number
J 123
Portrait de Marie-Françoise-Camille, dite (par erreur) Casimire, comtesse de Sassenage, dite marquise de Sassenage

Detailed informations

Creator(s)
Ecole française, dessinateur
La Tour, Maurice-Quentin de (Saint-Quentin, 05–09–1704 - Saint-Quentin, 17–02–1788), auteur du modèle
Formerly attributed to La Tour, Maurice-Quentin de (Saint-Quentin, 05–09–1704 - Saint-Quentin, 17–02–1788), dessinateur
Autre titre :
Portrait de Marie-Françoise-Camille de Sassenage, marquise de Bérenger (Former title (unused))
Production date
Vers 1765
Century
Object type(s)
Type(s)
Materials / Technique
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 59 cm
  • Largeur : 49 cm
Iconographical description

On a parfois voulu voir, dans le modèle, les traits de Marie-Françoise-Camille de Sassenage, fille et héritière de Charles-François, comte de Sassenage, dit marquis de Sassenage, et qui avait épousé en 1755 Raymond-Pierre, marquis de Bérenger et comte du Guâ, alors qu'il s'agit évidemment de sa mère, Marie-Françoise-Camille, dite par erreur Casimire, comtesse de Sassenage.

Historical background

Comme le "Portrait présumé du baron Charles-François, comte de Sassenage, dit marquis de Sassenage" par Maurice Quentin de La Tour, également conservé au musée Cognacq-Jay (après 1749, inv. J.122 ; cf. Burollet, Thérèse, 2008, p.145-147, n°52, repr. p.147), ce pastel représentant son épouse provient du château de Sassenage, en Dauphiné. La facture un peu molle de ce pastel ne permet pas de retenir l'ancienne attribution à La Tour. Il s'agit ici de l'oeuvre d'un pastelliste resté inconnu, mais doué d'un certain talent (cf. Burollet, Thérèse, 2008, p.149). Une seconde version de ce portrait est encore conservée dans les collections du château de Sassenage qui en possède également une copie à l'huile. Ce pastel ainsi que celui du musée Cognacq-Jay pourraient, peut-être, être les copies d'un portrait non répertorié de la comtesse par La Tour, exécutées d'après l'original (aujourd'hui non localisé) par un pastelliste de la région pour en garder un souvenir dans la demeure familiale. En effet, il existe dans la série des têtes préparatoires (actuellement non identifiées) gardées par La Tour dans son atelier (Saint-Quentin, musée Antoine-Lécuyer), un visage de femme inconnue, assez âgée, qui ressemble beaucoup à celui du portrait Cognacq-Jay. Si le costume austère du modèle est bien une tenue de veuve, il daterait l'œuvre originale des années 1765-1770, son époux mourant à Versailles le 2 juin 1762.

Person / Character depicted
Acquisition method
Acquisition name
Acquisition date
1928
Museum number
J 123

Indexation

Matériaux et techniques

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